Santé, vérité et souveraineté : pour une médecine libérée des lobbies

Un sujet grave, une voix amie, un débat nécessaire

Un ami du mouvement nous a contactés sur un sujet grave. Un sujet qui, pourtant, n’est abordé par aucune de nos grandes figures politiques. Il s’agit de la santé. Pas celle des discours technocratiques, des plans hôpital ou des milliards virtuels. Mais de la santé réelle, celle des familles, des patients, des aidants, de celles et ceux qui, chaque jour, doutent, souffrent, espèrent… et se taisent.

Combien d’entre nous se posent en silence les mêmes questions ? Pourquoi certaines maladies explosent-elles ? Pourquoi certains traitements sont-ils interdits ou ignorés ? Pourquoi avons-nous l’impression que notre santé est devenue un marché et non un droit ?

Ces questions ne sont pas marginales. Elles sont légitimes, humaines, vitales. Et aujourd’hui, nous choisissons de les mettre au cœur du débat public.

Pour lui, pour nous tous : ouvrons ce débat, ensemble

Cet ami a passé des années à chercher, à recouper, à questionner. Il n’a jamais affirmé détenir « la vérité », mais il a refusé le mensonge. Il nous a transmis ce qu’il avait découvert : des traitements oubliés, des documents ignorés, des pistes souvent disqualifiées sans jamais être réellement étudiées.

Son engagement est sincère. Et parce que nous croyons à l’intelligence collective, à la rigueur sans mépris, à l’écoute sans moquerie, nous avons décidé de prolonger cette voix.

Nous lançons donc une enquête publique, citoyenne, sur ce qui pourrait devenir un pilier majeur de notre projet : la souveraineté sanitaire.

Car ce qu’il soulève est plus grand que son histoire personnelle : c’est la voix silencieuse de millions de Français qui doutent, qui veulent comprendre, et à qui on répond trop souvent par le silence ou le mépris.

Une médecine sous influence : des faits, pas des fantasmes

Oui, l’industrie pharmaceutique a menti. Et cela a eu des conséquences tragiques. Les exemples sont nombreux, vérifiés, parfois même jugés par les tribunaux :

Le Mediator : commercialisé par les laboratoires Servier, ce médicament a été responsable de la mort de plus de 2 000 personnes en France. Il a été prescrit comme coupe-faim alors qu’il était connu pour être dangereux. Un procès historique s’est tenu, révélant une chaîne de complicités entre industriels et institutions sanitaires.
L’OxyContin : aux États-Unis, la crise des opiacés est née de la commercialisation massive de cet antidouleur par Purdue Pharma. Le laboratoire affirmait qu’il n’était pas addictif. Résultat : plus de 500 000 morts. Aujourd’hui encore, les victimes se battent pour obtenir justice.
Le scandale du sang contaminé, les campagnes de désinformation sur le tabac, ou encore la rétention de données sur la dangerosité des pesticides montrent que l’histoire de la médecine moderne est aussi celle de l’influence des puissances financières sur notre santé.

Ce que nous dénonçons ici, ce n’est pas la science. C’est l’absence de débat, la censure des alternatives, et la transformation progressive du soin en marché captif.

Entre espoirs ignorés et censures organisées : les pistes étouffées

Nous avons étudié plusieurs documents transmis par ce citoyen engagé. Ils concernent des approches thérapeutiques ou techniques souvent écartées du débat officiel :

La machine Priore : dans les années 1960-70, cet appareil basé sur des champs électromagnétiques avait suscité l’intérêt de l’Académie des sciences et du CNRS. Des rémissions spectaculaires auraient été observées. Mais après la mort de son inventeur, le projet a été abandonné, sans qu’aucun laboratoire ne parvienne à reproduire ses résultats. Pourquoi n’a-t-il jamais été relancé ?
La machine de Rife : conçue dans les années 1930, elle reposait sur l’idée que chaque cellule cancéreuse vibre à une fréquence spécifique. Rife affirmait avoir guéri 16 patients. Ses travaux ont été ignorés ou discrédités sans débat scientifique rigoureux.
Le 714X (Naessens) : un composé injectable dans le système lymphatique, censé restaurer l’immunité naturelle. Utilisé au Canada, interdit en France. Sans toxicité connue, mais jamais évalué sérieusement par des institutions publiques.
Les extraits Beljanski : utilisés par François Mitterrand dans les dernières années de sa vie, ces extraits végétaux naturels ont montré des effets anticancer en laboratoire. Leur usage est aujourd’hui toléré aux États-Unis, mais reste tabou en France.
L’ivermectine, le fenbendazole, le bleu de méthylène : ces substances à très bas coût suscitent un intérêt croissant pour leurs effets anticancéreux potentiels. Mais toute tentative de les étudier est vite assimilée à de la pseudoscience. Pourquoi ?

Ce n’est pas aux lobbies de décider ce qui est scientifique. C’est au débat libre, rigoureux et pluraliste.

Une exigence éthique : reprendre le contrôle de notre santé

Face à cette situation, notre position est claire :

Nous voulons une médecine au service de l’humain, pas des intérêts économiques.
Nous exigeons la transparence sur les essais, les brevets, les conflits d’intérêts.
Nous réclamons le droit au débat sur toutes les approches thérapeutiques, classiques ou alternatives.
Nous demandons la création d’une Agence d’Évaluation Citoyenne de la Santé, indépendante des laboratoires.
Nous appelons à l’intégration encadrée des médecines complémentaires dans les parcours de soin.

Ensemble : faisons entendre toutes les voix

Aujourd’hui, nous lançons un appel à celles et ceux qui veulent agir. Pour que le courage de cet ami du mouvement soit un point de départ. Pour que ses années de recherches, de doutes, de lecture, soient utiles à d’autres. Pour que nos craintes, nos intuitions, nos blessures aussi, trouvent enfin un espace d’expression et de construction collective.

Rejoignez notre groupe de travail “Santé & Vérité” : un espace citoyen pour enquêter, confronter, vérifier et imaginer.

Notre santé nous appartient. Notre indépendance n’a pas de prix. Et notre avenir sera souverain, ou ne sera pas.

Pour participer ou soutenir cette démarche :

✉️ contact@lesessentiels-france.fr

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Construisons une force collective, fondée sur la vérité, la science et la dignité.