Dette, pauvreté, impuissance : notre plan pour rendre la France à ses citoyens
Parce que la dette est devenue un piège… dont nous pouvons sortir.
En 2025, la dette publique française dépasse les 3 400 milliards d’euros, soit 112 % du PIB.
Chaque année, près de 67 milliards d’euros partent uniquement pour payer les intérêts de cette dette.
C’est plus que le budget de l’Éducation nationale.
C’est de l’argent perdu.
De l’argent qui ne sert ni à nos hôpitaux, ni à nos entreprises, ni à nos familles, ni à notre avenir.
Pourquoi en sommes-nous là ?
➡️ Parce que la France s’est progressivement soumise aux marchés financiers, vendant sa souveraineté économique à des créanciers qui imposent leurs conditions.
➡️ Parce que notre désindustrialisation massive nous prive de richesses productives.
➡️ Parce que notre système repose sur des dépenses sociales passives et une administration lourde, sans remise à plat.
La situation de notre pays en 2025
Il est temps de reprendre en mains notre avenir… et celui de nos enfants.
La situation de notre pays en 2025
En 2025, la dette publique française dépasse les 3 400 milliards d’euros, soit 112 % du PIB.
Chaque année, près de 67 milliards d’euros partent uniquement pour payer les intérêts de cette dette.
C’est plus que le budget de l’Éducation nationale.
C’est de l’argent perdu.
De l’argent qui ne sert ni à nos hôpitaux, ni à nos entreprises, ni à nos familles, ni à notre avenir.
Pourquoi en sommes-nous là ?
➡️ Parce que la France s’est progressivement soumise aux marchés financiers, vendant sa souveraineté économique à des créanciers qui imposent leurs conditions.
➡️ Parce que notre désindustrialisation massive nous prive de richesses productives.
➡️ Parce que notre système repose sur des dépenses sociales passives et une administration lourde, sans remise à plat.
En quelques lignes
Il est temps de reprendre en mains notre avenir… et celui de nos enfants.
Il est temps de reprendre en mains notre avenir… et celui de nos enfants.
Ce projet de société vise à restaurer l’indépendance économique, la justice territoriale et la cohésion sociale de la France. Il repose sur la mobilisation des citoyens, la transparence des choix publics, la valorisation de la production locale, et la rationalisation de l’action de l’État.
Chaque mesure ci-dessous est présentée avec son argumentaire, son impact chiffré et sa contribution à la réduction de la dette publique.
🇫🇷 TITRE I — Reprendre le contrôle : Pour un Frexit serein et structuré
Pourquoi sortir de l’Union européenne ?
Depuis plusieurs décennies, l’Union européenne a progressivement vidé les États membres de leurs pouvoirs essentiels. En France, près de 80 % des lois sont aujourd’hui d’origine européenne (source : Sénat, CESE). Nos politiques industrielles, agricoles, budgétaires, nos choix diplomatiques, nos normes sociales ou environnementales sont dictés ou verrouillés à Bruxelles.
Le Frexit, ou sortie de la France de l’Union européenne, n’est pas un isolement :
C’est la reconquête de notre capacité à décider nous-mêmes.
Ce que nous voulons, ce n’est pas rompre : c’est choisir.
Reprendre le contrôle de notre droit : ne plus subir des règlements contraires à nos intérêts.
- Retrouver notre souveraineté budgétaire : sortir du carcan des traités (TSCG, règle des 3 % de déficit, etc.) qui empêchent d’investir pour l’avenir.
- Relancer notre production nationale : pouvoir protéger nos industries stratégiques, conditionner les importations, relocaliser sans interdiction de la Commission.
- Redonner du sens à nos priorités territoriales : chaque commune, chaque région mérite des politiques publiques pensées pour elle, pas imposées de l’extérieur.
Le Frexit, c’est aussi :
✅ Une diplomatie libre, non-alignée et respectueuse des peuples, qui ne suit plus les intérêts américains ou allemands.
✅ La fin du pillage de nos terres agricoles et de nos forêts par des multinationales subventionnées par Bruxelles.
✅ Une maîtrise retrouvée de notre immigration, de nos frontières, et des règles d’accueil dignes et justes pour chacun(e).
✅ Un retour à une monnaie gérée par la France, ou un mécanisme national parallèle temporaire (Fonds Souverain, monnaie citoyenne de réserve).
Et surtout : aucune fermeture, aucun repli.
La France restera :
- Membre de l’ONU, de l’OMC, de l’espace Schengen si elle le souhaite, et de nombreuses coopérations internationales utiles.
- Ouverte aux partenariats bilatéraux avec tous les pays du monde, européens inclus.
- Un moteur d’alliances régionales, mais sur des bases choisies, équilibrées, respectueuses de notre souveraineté.
En résumé :
Le Frexit n’est pas un repli, c’est un réveil.
Ce n’est pas tourner le dos à l’Europe, c’est dire stop à une Europe technocratique qui détruit les peuples au lieu de les protéger.
C’est redonner à la France les moyens d’agir, de produire, de décider et de défendre ce qui fait son identité.
🇫🇷 TITRE II — Travailler doit payer : Revalorisation salariale par transfert de charges
Constat
Aujourd’hui en France, les salaires stagnent pendant que l’inflation augmente, les factures explosent, et les conditions de vie se dégradent pour des millions d’actifs.
Pourtant, les Français ne travaillent pas moins qu’ailleurs. Ils sont parmi les plus productifs d’Europe.
Ce qui bloque ?
➡️ Le niveau des charges sociales sur le travail : une part énorme de ce que coûte un salarié à son employeur n’arrive jamais dans sa poche.
Notre solution : transférer les charges vers le salaire net
Nous proposons un transfert massif et progressif de 50 % des charges patronales vers les salaires nets, sans toucher à la protection sociale.
📈 Ce mécanisme simple permettrait à 20 millions de salariés de gagner entre 150 et 300 € net par mois, sans coût pour l’employeur, ni hausse des prix à la consommation.
Un cercle vertueux pour toute l’économie
➕ Pouvoir d’achat réel
+150 à +300 € nets par mois pour chaque salarié concerné.
Jusqu’à 3 600 € nets par an, soit un 13e et un 14e mois pour beaucoup de familles.
➕ Relance de la consommation
Impact économique direct estimé à +60 milliards d’euros injectés chaque année dans l’économie réelle.
Soutien aux commerces de proximité, artisans, producteurs locaux : l’argent reste dans le pays.
➕ Aucun nouvel impôt
Aucun prélèvement supplémentaire.
Aucun coût pour les entreprises.
Financement via la restructuration du système de cotisations (fusion de régimes, économies sur les structures, automatisation).
Et les protections sociales dans tout ça ?
❌ Non, ce n’est pas la fin de la Sécurité sociale !
✅ Le modèle de protection est maintenu et renforcé grâce à une meilleure mutualisation, la chasse aux doublons, et l’optimisation des circuits de financement.
✅ Le tout sans déremboursement, ni privatisation, ni fragilisation des caisses.
Qui est concerné ?
Les salariés du privé : tous les actifs touchant un revenu déclaré.
Les jeunes en emploi, les familles monoparentales, les classes moyennes, les smicards, les salariés à temps partiel… tous verront un gain net immédiat.
À terme : possibilité d’étendre aux salariés du public, via une revalorisation équivalente hors grille indiciaire.
En résumé :
Travailler doit redevenir un levier d’émancipation, pas un piège à factures.
Ce transfert de charges est la mesure la plus rapide, la plus concrète et la plus juste pour redonner de l’air aux Français.
Les Essentiels – France défendent un salaire juste, une économie humaine, une prospérité partagée.
🇫🇷 TITRE III — Fonds Souverain Citoyen : Reprendre la dette pour en finir avec la dépendance
Un placement national, éthique et rentable pour libérer la France des marchés financiers
Le problème : une dette hors de contrôle, tenue par d’autres
En 2025, la France est étranglée par sa dette publique :
- 3 400 milliards d’euros de dette,
- 67 milliards d’euros d’intérêts versés chaque année, soit plus que le budget de l’Éducation nationale,
- Une dette détenue à plus de 50 % par des investisseurs étrangers, qui imposent leurs taux et leurs conditions.
Chaque euro emprunté creuse notre dépendance.
Chaque hausse des taux d’intérêt aggrave notre déficit.
Et chaque année, des dizaines de milliards sont prélevés sur nos impôts uniquement pour rémunérer les marchés financiers.
Notre solution : créer un Fonds Souverain Citoyen
Le Fonds Souverain Citoyen (FSC) propose une alternative concrète :
➡️ Permettre aux Français eux-mêmes de financer la dette publique en y plaçant leur épargne, en toute sécurité.
➡️ En échange, ils perçoivent une rémunération juste (entre 2 % et 3 %), garantie par l’État.
C’est une manière éthique, patriotique et rentable de faire fructifier l’épargne nationale tout en réduisant notre dépendance aux marchés.
Objectifs du FSC
- Refinancer jusqu’à 1 600 milliards d’euros de dette sur 15 ans, soit près de la moitié du stock total.
- Économiser jusqu’à 150 milliards d’euros d’intérêts, en contournant les taux excessifs imposés par les créanciers privés.
- Réduire de 48 % la dette publique à l’horizon 2040, tout en maîtrisant nos finances.
Concrètement, comment ça marche ?
- Chaque citoyen peut investir volontairement dans le Fonds via un livret spécifique ou un contrat sécurisé.
- Les sommes collectées servent exclusivement à refinancer la dette publique, au lieu d’emprunter auprès des marchés.
- L’État garantit 100 % du capital et verse des intérêts annuels directement aux citoyens.
- Il est possible d’investir dès 100 €, sans durée d’engagement obligatoire.
Les avantages pour chacun
✅ Pour les citoyens :
- Un placement plus rentable que le Livret A (souvent gelé ou baissé).
- Une garantie totale du capital par l’État.
- La satisfaction de participer directement au redressement du pays.
✅ Pour la France :
- Une dette maîtrisée, plus stable et moins vulnérable aux crises.
- Une relance de l’épargne populaire, orientée vers l’intérêt général.
- Une arme économique de souveraineté, pour financer nos priorités nationales sans passer par les banques ou les fonds étrangers.
En résumé
Le Fonds Souverain Citoyen, c’est l’argent des Français pour les Français.
C’est une dette reprise en main par ceux qui la subissent.
C’est une révolution tranquille, fondée sur la confiance, la transparence et la justice.
Avec Les Essentiels – France, nous transformons la dette en levier de souveraineté populaire.
🇫🇷 TITRE IV — Relocalisation productive : Produire en France, pour la France
Le constat : une France qui ne produit plus
Depuis 40 ans, la France a sacrifié son industrie :
- En 1980, l’industrie représentait 25 % du PIB ; aujourd’hui, moins de 10 %.
- Nous avons perdu plus de 2 millions d’emplois industriels.
- Nous dépendons massivement de la Chine, de l’Allemagne ou des États-Unis pour nos biens essentiels : médicaments, machines-outils, composants électroniques, énergies…
Cette désindustrialisation massive n’est pas une fatalité, c’est le résultat de choix politiques, imposés au nom d’une mondialisation sans règles.
Et aujourd’hui, nous payons le prix fort :
- Déficit commercial record : plus de 100 milliards d’euros par an.
- Pénuries, chômage, dépendance stratégique, disparition des savoir-faire.
Notre solution : relocaliser ce qui compte vraiment
Les Essentiels – France proposent un plan massif de relocalisation productive :
- Soutien direct aux PME industrielles françaises, avec un fonds d’investissement public-privé piloté localement.
- Allègements fiscaux et administratifs ciblés pour les entreprises qui relocalisent sur le territoire.
- Réquisition ou nationalisation partielle d’outils stratégiques abandonnés.
- Préférence nationale dans les commandes publiques, notamment dans la santé, l’énergie, l’agroalimentaire, les transports et les équipements publics.
- Reconversion des friches industrielles en incubateurs de production locale.
Ce que nous visons concrètement
- Créer ou ramener 1 million d’emplois productifs d’ici 10 ans.
- Réduire notre déficit commercial de moitié en 5 ans.
- Produire à nouveau les biens essentiels sur notre sol : médicaments, batteries, transformateurs, machines agricoles, vêtements durables, alimentation, etc.
- Stimuler la recherche, les brevets, les formations techniques, avec un pilotage territorial en lien avec les besoins réels.
Une économie de proximité, humaine et durable
Relocaliser, ce n’est pas “fermer les frontières” :
➡️ C’est créer un écosystème cohérent, où ce que nous consommons est produit ici, dans des conditions sociales et écologiques décentes.
➡️ C’est réduire les émissions liées aux transports mondiaux, redonner un sens au travail, garantir une vraie souveraineté économique.
En résumé
Relocaliser, c’est réparer la France.
C’est redonner un emploi aux ouvriers, une dignité aux territoires, un avenir à notre économie.
Ce n’est pas un repli, c’est une reconstruction.
Avec Les Essentiels – France, nous remettons la production au cœur du pays.
🇫🇷 TITRE V — Mécanisme « Option France » : Épargner pour son pays, être récompensé
Le constat
En France, l’épargne des ménages dépasse les 6 000 milliards d’euros.
Mais cette richesse dort trop souvent dans des placements peu productifs (assurances vie sous-performantes, fonds étrangers, livrets gelés…).
Une grande partie est utilisée pour financer des économies étrangères, au lieu de servir à bâtir notre avenir commun.
La réponse des Essentiels – France : l’Option France
L’Option France est un dispositif simple, volontaire et accessible à tous.
Chaque salarié ou citoyen peut choisir d’affecter une petite part de son revenu (par exemple 40 €/mois) au Fonds Souverain Citoyen, via son bulletin de salaire, son compte bancaire ou une application dédiée.
➡️ L’État s’engage à abonder à hauteur de 10 % tout montant versé par les citoyens.
➡️ Chaque euro investi est rémunéré (2 à 3 % garantis) et sécurisé.
➡️ Les fonds sont directement utilisés pour refinancer la dette nationale à des conditions bien plus avantageuses que celles imposées par les marchés.
Chiffres clés : un petit effort, un grand impact
- 10 millions de citoyens investissant 40 € par mois, soit :
- 4,8 milliards € collectés chaque année,
- +480 millions € d’abondement public,
- soit 5,3 milliards € par an au total.
Sur 10 ans, cela permettrait de refinancer entre 50 et 70 milliards € de dette publique, sans créer de nouvel impôt, sans dépendre des marchés étrangers, et tout en récompensant l’engagement citoyen.
Qui peut participer ?
✅ Tous les citoyens majeurs, actifs ou non, avec ou sans emploi.
✅ Les jeunes de plus de 18 ans via un livret d’épargne Option France.
✅ Les entreprises qui souhaitent proposer cette démarche à leurs salariés peuvent aussi abonder volontairement.
Pourquoi c’est une révolution douce
Pour les citoyens :
- Une rémunération garantie, meilleure que la plupart des placements classiques.
- Un acte de souveraineté économique concret, à portée de tous.
- Une transparence totale sur l’utilisation des fonds.
Pour l’État :
- Un financement pérenne et non spéculatif de la dette publique.
- Une stabilisation des comptes grâce à un levier populaire, plutôt qu’une fuite vers les marchés.
- Une mobilisation collective autour d’un enjeu national stratégique.
Une solidarité nouvelle, à la française
Ce mécanisme s’inspire des anciens « emprunts nationaux » mais en version moderne, éthique et incitative.
L’Option France n’est pas une obligation, mais une possibilité offerte à toutes celles et ceux qui veulent contribuer au redressement du pays sans effort financier lourd.
En résumé :
L’Option France, c’est choisir d’agir, chaque mois, pour sa nation.
C’est transformer quelques euros en levier de souveraineté.
C’est prouver que le peuple est capable de faire mieux que les marchés.
Avec Les Essentiels – France, chaque citoyen redevient acteur de l’avenir collectif.
🇫🇷 TITRE VI — TVA Intelligente : Protéger notre marché sans interdire
Le problème : un marché ouvert… mais sans défense
Aujourd’hui, la France subit une concurrence internationale déloyale, fondée sur :
- des produits importés à bas coût, souvent de qualité médiocre,
- une logique de surconsommation au détriment de notre production nationale,
- et un système fiscal qui ne récompense pas du tout les circuits courts ni la production locale.
Pendant ce temps, notre balance commerciale est déficitaire de plus de 100 milliards € par an, notre industrie recule, et nos agriculteurs et artisans disparaissent sous la pression des importations.
Notre solution : une TVA intelligente à double effet
Nous proposons d’instaurer une TVA ajustée en fonction de l’origine, de l’utilité et de l’impact des produits.
1. TVA renforcée sur les importations non prioritaires
➡️ Pour les biens de consommation superflus, produits à l’étranger, qui concurrencent nos savoir-faire :
- TVA augmentée de manière ciblée (jusqu’à 25 % possible sur certains segments),
- afin d’inciter à des achats plus utiles, plus durables, plus locaux.
2. TVA réduite sur les produits fabriqués, cultivés et vendus en France
➡️ Pour soutenir nos producteurs, nos artisans, nos PME et nos agriculteurs :
- TVA abaissée à 5,5 %, voire 2,1 % sur les produits remplissant les critères de souveraineté territoriale,
- une bouffée d’oxygène pour relancer leur compétitivité et restaurer leurs marges,
- et un avantage immédiat sur les prix pour les consommateurs qui choisissent le local.
🇨🇭 Une méthode inspirée de la Suisse
La Confédération suisse dispose d’une plateforme publique de pilotage économique qui :
- identifie les besoins réels du pays,
- cartographie les capacités productives locales,
- oriente les appels d’offres et la fiscalité en fonction des priorités nationales.
Nous voulons créer en France un outil similaire : une plateforme transparente, consultable par tous, pour :
- guider les politiques d’achat public,
- prioriser les filières à soutenir,
- ajuster les taux de TVA en temps réel selon les réalités économiques.
Impacts attendus
- Réduction de 5 à 10 % des importations non prioritaires dans les premières années.
- Relocalisation indirecte : la production nationale devient plus compétitive.
- Soutien direct à la demande intérieure : les consommateurs favorisent les circuits courts car le local devient moins cher.
- Protection de 50 à 80 milliards € de marché intérieur par an, réorientés vers les acteurs français.
En résumé
La TVA intelligente, c’est une fiscalité du bon sens.
Une taxe plus juste qui récompense ceux qui produisent ici,
décourage l’importation inutile,
et remet l’économie réelle au cœur du projet national.
Avec Les Essentiels – France, acheter français n’est plus un sacrifice. C’est un choix gagnant.
Soutenons nos entreprises. Allégeons leur fardeau. Bâtissons une économie fondée sur le local et la confiance.
🇫🇷 TITRE VII — Plateforme Citoyenne d’Investissement Fléché
Le problème : une épargne abondante, mais déconnectée du réel
Les Français disposent de plus de 6 000 milliards d’euros d’épargne.
Mais cette richesse est aujourd’hui :
- majoritairement gérée par des banques ou fonds d’investissement sans lien avec le pays,
- investie dans des placements opaques, parfois spéculatifs,
- déconnectée des besoins réels des territoires, des citoyens et de la nation.
Dans le même temps, nos hôpitaux manquent de lits, nos écoles ferment, nos infrastructures se dégradent, nos agriculteurs s’épuisent.
Il est temps de reconnecter l’épargne des Français à la France réelle.
Notre solution : une plateforme citoyenne d’investissement fléché
Les Essentiels – France proposent de créer une grande plateforme publique et citoyenne, sécurisée et 100 % transparente, permettant à chaque Français de :
✅ Consulter les projets d’intérêt général à financer dans sa région ou à l’échelle nationale (construction d’une école, rénovation d’un hôpital, parc solaire, coopérative alimentaire, bus électrique, etc.)
✅ Choisir librement à quoi sert son argent, en fléchant directement son investissement, même symbolique.
✅ Suivre l’évolution du projet financé, de manière transparente et participative.
Fonctionnement de la plateforme
- Accessible à tous, dès 18 ans, sans conditions de revenus.
- Compatible avec les dispositifs du Fonds Souverain Citoyen ou de l’Option France.
- Investissements à partir de 10 €, en ligne ou via les Maisons Citoyennes locales.
- Rendement juste et stable (2 à 3 %) garanti par l’État ou les collectivités partenaires.
- Possibilité de donner, prêter ou investir selon le type de projet.
Effets attendus
Mobilisation massive de l’épargne nationale :
- +10 à +20 % d’augmentation de l’investissement citoyen selon les projections.
- Réduction directe de la dépendance aux marchés et aux banques.
- Plus de 20 à 50 milliards € disponibles par an, sans impôt supplémentaire.
Effet psychologique puissant :
- Les citoyens reprennent confiance en voyant concrètement l’impact de leur argent.
- Sentiment de justice et d’efficacité retrouvé.
- Fierté collective de financer ensemble ce qui compte vraiment.
Effet structurant sur les territoires :
- Les projets locaux redeviennent visibles, porteurs et concrets.
- Les citoyens deviennent acteurs et non plus spectateurs du développement de leur région.
- Les jeunes générations se reconnectent à l’engagement public via des moyens modernes.
Une logique éprouvée dans les modèles suisses et nordiques
En Suisse, de nombreuses communes publient régulièrement les besoins d’investissement public et associent la population aux priorités budgétaires.
Résultat :
➡️ un taux de participation citoyenne élevé,
➡️ une utilisation rigoureuse et transparente des fonds,
➡️ et une confiance renforcée dans les institutions.
La plateforme que nous proposons est la version française et numérique de cette démocratie économique appliquée.
En résumé :
La Plateforme Citoyenne d’Investissement Fléché, c’est la banque de la République au service du peuple.
Une banque où chaque euro investi devient un acte démocratique,
et où l’avenir se construit collectivement, projet par projet, région par région.
Avec Les Essentiels – France, vous ne placez plus seulement votre argent : vous construisez la France de demain.
🇫🇷 TITRE VIII — Fin du millefeuille : Réduction des coûts institutionnels
Le problème : un État qui coûte trop… mais qui n’agit plus
La France est malade de son propre empilement administratif :
- Plus de 1 200 intercommunalités,
- Des dizaines de milliers d’élus dans des structures peu lisibles,
- Des agences publiques en doublon, des syndicats mixtes opaques, des hauts-fonctionnaires hors-sol,
- Des milliards d’euros dépensés chaque année sans impact réel sur la vie quotidienne des citoyens.
Ce millefeuille territorial coûte cher, désorganise l’action publique et éloigne les citoyens des centres de décision.
Pendant ce temps, les communes — cellules de base de la République — n’ont plus les moyens d’agir, ni la liberté de décider.
Notre solution : alléger l’appareil, renforcer le terrain
Les Essentiels – France proposent un plan clair, chiffré et respectueux pour réduire les coûts structurels de l’appareil administratif tout en rendant du pouvoir aux communes.
Suppression progressive des intercommunalités :
- Dissolution des communautés de communes, agglos, métropoles, pôles d’équilibre…
- Récupération des compétences par les communes ou les départements, selon les cas.
Élimination des doublons :
- Fusion ou fermeture des agences publiques redondantes, observatoires inutiles, comités consultatifs sans effet.
- Regroupement des fonctions support (RH, communication, informatique) à l’échelle régionale ou départementale.
Réduction ciblée des postes non productifs :
- 25 000 à 30 000 postes administratifs supprimés progressivement sur les 5 à 7 prochaines années, par non-remplacement, mobilité et départs à la retraite.
Résultats chiffrés
- Économie structurelle estimée entre 3 et 6 milliards € par an dès la cinquième année.
- Réduction de la dette publique par contraction des dépenses de fonctionnement (effet indirect mais massif).
- Réorientation des budgets vers les services publics de proximité : écoles, sécurité, entretien, aides locales.
Pourquoi cela n’a rien à voir avec de la casse sociale
Ce plan :
- ne touche ni les services de terrain, ni les hôpitaux, ni les écoles, ni les pompiers.
- Il vise les structures technocratiques sans contact avec le réel.
- Il est progressif, transparent, humainement géré.
- Il s’appuie sur la consultation des élus locaux pour redéployer les compétences et les moyens là où ils sont utiles.
Recentrer sur les communes : l’échelon de la confiance
- La commune est l’unité territoriale que les Français connaissent, comprennent, et souvent respectent.
- Redonner à la commune ses compétences, ses moyens, sa liberté d’action, c’est reconstruire un lien direct entre citoyens et action publique.
- C’est aussi une réponse concrète à la défiance démocratique.
En résumé :
Trop d’État là où il ne faut pas. Pas assez d’État là où il est indispensable.
Il est temps de remettre de l’ordre dans l’appareil public, de concentrer les moyens sur le terrain, et de libérer les Français du poids d’un système bureaucratique à bout de souffle.
Avec Les Essentiels – France, on arrête de financer des couches inutiles. On investit dans le concret.
Recentrons la République sur le service, la proximité, l’efficacité.
🇫🇷TITRE IX — DCSML : Dispositif Citoyen Solidaire
Donner à chacun un rôle utile. Remettre l’humain au cœur de la solidarité locale.
Le problème : exclusion, inactivité, perte de lien social
Aujourd’hui, des centaines de milliers de Français :
- souffrent de précarité, sans perspective réelle de réinsertion,
- ne sont ni en emploi, ni en formation, ni accompagnés, malgré les dispositifs existants,
- veulent être utiles mais n’en ont ni l’occasion, ni les moyens, ni le cadre.
En parallèle, nos communes manquent cruellement de moyens humains pour :
- l’entretien de l’espace public,
- le soutien aux plus fragiles,
- la médiation, la prévention, la solidarité de proximité.
Et si ceux qui ont besoin d’un complément de revenu pouvaient aider là où il y a besoin, sans être pénalisés par le système fiscal ?
Notre solution : le DCSML
Le Dispositif Citoyen Solidaire pour les Missions Locales (DCSML) est un programme volontaire, encadré et non imposable, destiné aux citoyens en situation de fragilité économique.
Chaque participant peut effectuer jusqu’à 15 heures par semaine de missions d’intérêt collectif local, telles que :
- Entretien d’espaces publics, bâtiments municipaux ou sentiers ruraux,
- Aide aux personnes âgées ou isolées,
- Soutien scolaire, médiation, animations de quartier,
- Participation à des chantiers citoyens ou à la vie associative.
En échange, ils reçoivent une rémunération nette de 8 à 10 €/heure, soit jusqu’à 600 € nets par mois.
Et cette rémunération est 100 % non imposable et non déclarable au fisc :
➡️ Elle n’impacte ni les droits sociaux, ni les aides, ni la fiscalité du foyer.
➡️ Elle reste un vrai complément de revenu, intégralement perçu.
Fonctionnement et financement
- Programme piloté localement par les communes, les Maisons Citoyennes et les CCAS.
- Missions encadrées par les structures partenaires (agents publics, associations locales).
- Financement national, via un fonds dédié solidaire, intégré au plan France Souveraine.
Coût :
- 0,49 milliard € par an pour 150 000 à 200 000 citoyens concernés.
Économie indirecte :
- Jusqu’à 1,2 milliard € d’aides sociales évitées, désengorgement des dispositifs passifs.
Bilan global :
- +0,7 milliard € net d’impact positif pour les finances publiques.
Un programme humain, digne et volontaire
Le DCSML, ce n’est ni du travail précaire, ni de l’assistanat :
- C’est une participation choisie à l’effort commun,
- Une reconnaissance symbolique et matérielle pour les citoyens qui s’engagent,
- Un tremplin vers la réinsertion, la formation, ou simplement la reconnaissance locale.
Le tout sans pression, sans conditionnalité rigide, sans perte de droits sociaux.
En résumé :
Le DCSML, c’est la dignité retrouvée pour des milliers de Français.
Une société qui respecte ses membres, c’est une société qui leur propose une place, un rôle, et une reconnaissance.
Un dispositif concret, humain, local… et juste fiscalement.
Avec Les Essentiels – France, chacun peut contribuer. Et tout le monde y gagne.
Construisons ensemble une solidarité qui valorise, qui rassemble, et qui élève.
🇫🇷TITRE X — Inclusion des seniors & soutien massif aux associations
Récompenser l’engagement, transmettre les savoirs, reconstruire les liens sociaux
Le problème : isolement des anciens, asphyxie des associations, fragilisation du lien social
En France :
- Plus de 4 millions de personnes âgées sont en situation d’isolement sévère.
- Des centaines de milliers de retraités valides souhaitent encore contribuer, mais n’en trouvent ni le cadre, ni la reconnaissance.
- Le tissu associatif, pilier discret du pays, est étouffé par les baisses de subventions, les démarches administratives et la perte de bénévoles.
- Des familles entières peinent à assurer la garde des enfants, l’accompagnement scolaire ou la médiation dans les quartiers.
Tout cela contribue à un effondrement silencieux du lien social : générations coupées les unes des autres, savoirs perdus, territoires fracturés.
Notre solution : conjuguer l’énergie des seniors et la puissance du monde associatif
Le plan France Souveraine propose un dispositif national de valorisation de l’utilité sociale non-marchande, articulé autour de deux leviers puissants :
Le Revenu de Contribution Senior
➡️ Destiné aux retraités autonomes, valides, non imposables, ou modestes souhaitant s’engager utilement dans la société.
➡️ En échange de 5 à 10 heures d’engagement par semaine, dans des domaines comme :
- l’aide à la lecture et au soutien scolaire,
- l’accompagnement à la parentalité,
- la médiation intergénérationnelle,
- l’entretien des jardins partagés, ou l’accueil en Maison Citoyenne.
Chaque senior volontaire perçoit un revenu complémentaire de 200 à 400 € net/mois, non imposable, non déduit des pensions, et indexé sur l’engagement réel.
Objectif : mobiliser 500 000 à 1 million de volontaires à horizon 5 ans.
Crédits renforcés aux associations locales
➡️ Doublement progressif du fonds de soutien à l’initiative associative territoriale, porté à 1 milliard €/an, prioritairement fléché vers :
- les associations rurales ou de quartiers,
- les structures d’utilité publique à but non lucratif,
- les projets porteurs de lien social, de transmission et de solidarité locale.
Les subventions seront simplifiées, les critères assouplis, et les collectivités incitées à contractualiser localement.
Les associations deviennent des relais actifs de la citoyenneté dans chaque commune.
Coûts et gains
- Coût brut estimé : 800 millions €/an, répartis entre le revenu senior et les crédits aux associations.
- Économie indirecte estimée : 1,3 milliard €/an, via :
- la baisse des frais liés à l’isolement (santé, dépendance),
- le soutien à la réussite scolaire et à la prévention sociale,
- la réduction des coûts liés à la désintégration du lien intergénérationnel.
Bilan global : +500 millions € nets pour la collectivité… et une valeur sociale inestimable.
Ce que ça change concrètement
- Une grand-mère devient marraine d’école.
- Un retraité ancien artisan transmet son savoir à des jeunes en reconversion.
- Une association locale reçoit les moyens de rouvrir ses ateliers ou son accueil jeunes.
- Une famille monoparentale est soulagée par une aide garderie locale solidaire.
En résumé :
Valoriser les anciens, ce n’est pas un geste de charité. C’est un acte de bon sens et de justice.
Soutenir les associations, c’est faire confiance à ceux qui agissent là où l’État ne peut plus.
Ce programme est humain, concret, utile, et immédiatement opérationnel.
Avec Les Essentiels – France, chaque génération retrouve sa place. Chaque geste solidaire compte.
🇫🇷TITRE XI — Friches = Incubateurs Territoriaux
Redonner vie aux lieux abandonnés. Transformer l’inutile en moteur de relocalisation.
Le problème : un pays morcelé, des territoires abandonnés
Partout en France, des milliers de friches industrielles, commerciales, agricoles ou militaires :
- défigurent nos paysages,
- pèsent sur les finances locales,
- et restent inutilisées, parfois depuis des décennies.
Selon les estimations de l’ADEME, la France comptait plus de 7 000 sites industriels désaffectés en 2023, sans compter les entrepôts, hangars, anciennes casernes, écoles rurales ou exploitations agricoles à l’abandon.
Pendant ce temps, nos TPE/PME, associations, artisans, collectivités manquent de lieux adaptés, accessibles, abordables pour travailler, se regrouper, mutualiser.
Notre solution : des incubateurs territoriaux dans chaque bassin de vie
Les Essentiels – France proposent un plan de transformation des friches en pôles territoriaux mixtes et productifs, conçus comme de véritables accélérateurs d’activité locale, selon quatre principes :
1. Réhabiliter plutôt que construire
➡️ Chaque friche est réhabilitée avec des matériaux locaux, biosourcés, à faible impact environnemental.
➡️ Les bâtiments sont isolés, équipés, modulables pour accueillir différents usages (bureaux, ateliers, salles partagées, hébergement ponctuel, etc.).
➡️ Un fonds de 2 milliards d’euros, public-privé, est consacré à la rénovation prioritaire de 1 000 à 1 500 sites d’ici 2030.
2. Mutualiser les coûts, encourager les synergies
Ces pôles seront ouverts aux acteurs de proximité :
- entrepreneurs locaux, start-ups rurales, coopératives, artisans, auto-entrepreneurs,
- associations sociales, culturelles, éducatives,
- services publics et parapublics décentralisés,
- Maisons Citoyennes locales.
➡️ Mise en commun de :
- la logistique (accueil, secrétariat, stockage),
- les charges (chauffage, internet, sécurité),
- les compétences (comptabilité partagée, services numériques, accompagnement administratif).
3. Un modèle autonome et relocalisé
Ces incubateurs sont pensés pour fonctionner en quasi-autosuffisance :
- Production locale d’énergie (panneaux solaires, chaudières à bois, géothermie),
- Jardins collectifs et micro-fermes urbaines pour les besoins alimentaires,
- Valorisation des déchets sur site ou en circuit court,
- Organisation démocratique via les conseils de gestion citoyens.
4. Un levier pour la relocalisation économique
En soutenant la réimplantation d’activités productives à taille humaine, ce programme permet de :
- Réinjecter 5 à 10 milliards € d’activité relocalisée par an (vente, emploi, services),
- Créer jusqu’à 100 000 emplois directs et indirects dans les zones les plus fragiles,
- Réduire les coûts logistiques et les externalités négatives de la concentration métropolitaine.
Chiffrage et bilan prévisionnel
- Coût initial d’investissement : 2 milliards €, via le Fonds Souverain Citoyen et des partenaires locaux (régions, Caisse des Dépôts, SCIC).
- Retour économique espéré : +5 à 10 milliards € d’activité annuelle relocalisée à moyen terme.
- Impact indirect sur la dette via :
- augmentation des recettes fiscales locales,
- réduction du chômage territorial,
- moindre dépendance aux aides d’urgence dans les zones en décroissance.
En résumé :
Là où il y avait des ruines, il y aura des projets. Là où il y avait du vide, il y aura de la vie.
Ce programme transforme les stigmates de la désindustrialisation en pépinières de résilience locale.
Avec Les Essentiels – France, les territoires reprennent la main.
Chaque friche peut devenir une chance. Chaque commune peut redevenir un lieu de vie et de production.