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Le grand détournement : comment vos cotisations financent la dette publique

Le grand détournement : comment vos cotisations financent la dette publique

🧾 Pourquoi les assurances et mutuelles sont-elles devenues obligatoires ?

Depuis plusieurs années, une question fondamentale traverse l’analyse économique et sociale : pourquoi tant d’assurances et de mutuelles sont-elles devenues obligatoires ou quasi-obligatoires ?

La réponse tient en trois éléments clés :

1. L’argent qu’elles gèrent est le vôtre.

Les compagnies d’assurance, mutuelles et institutions de prévoyance ne vivent pas de création de valeur productive, mais des cotisations que les citoyens et les entreprises versent régulièrement. Ces fonds sont ensuite placés massivement dans des titres de dette publique.

➡️ En clair : elles prêtent à l’État de l’argent que vous leur avez versé.

2. Les placements sont devenus peu rentables.

Depuis la crise de 2008, les politiques monétaires de taux zéro ont drastiquement réduit les rendements des placements dits « sûrs » (obligations d’État, fonds en euros…). Résultat :

  • Moins de revenus issus des placements,
  • Plus de difficultés à honorer les engagements passés,
  • Besoin de collecter davantage de cotisations pour compenser les marges réduites.
3. L’obligation devient un outil de captation.

Pour sécuriser leurs flux de revenus, les acteurs financiers ont poussé à la généralisation d’assurances obligatoires :

  • Complémentaire santé obligatoire en entreprise depuis 2016,
  • Assurances prévoyance, dépendance ou retraite imposées par des conventions collectives,
  • Projets politiques pour compléter les retraites par capitalisation…

➡️ Sous couvert de protection, c’est un système de collecte quasi-fiscale au bénéfice d’acteurs privés.

4. Ces groupes sont souvent liés aux banques et aux marchés.
  • Amundi : filiale du Crédit Agricole,
  • CNP Assurances : filiale de La Banque Postale,
  • Natixis Assurances : BPCE,
  • AXA, Groupama, Swiss Life : actionnariat international et liens étroits avec les grandes banques d’affaires,
  • Et derrière beaucoup de ces noms, on retrouve BlackRock, Vanguard, State Street…

Ces structures réinvestissent ensuite l’argent collecté… dans la dette publique française ou les marchés boursiers internationaux.

🔁 Un cercle fermé : l’obligation d’assurer pour financer notre propre dette

En imposant l’assurance à tous, l’État garantit aux acteurs privés un flux continu de capitaux, qu’ils réutilisent ensuite pour devenir créanciers des citoyens eux-mêmes.

Les Français cotisent obligatoirement à des systèmes dont les profits alimentent une dette que ces mêmes citoyens devront rembourser avec leurs impôts.

Ce système est :

  • légal,
  • administrativement huilé,
  • économiquement cohérent…

Mais moralement contestable et démocratiquement invisible.

✊ Nous, Les Essentiels – France, disons stop à cette logique inversée.

Nous proposons :

  1. Un audit public de la dette et des circuits de financement.
  2. La redirection des cotisations vers un Fonds Souverain Citoyen, détenu par le peuple français.
  3. La fin des obligations de souscription pilotées par des groupes financiers.
  4. La relocalisation de la finance publique dans des structures de proximité et de transparence.
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