Notre objectif est de :
Transparence du pouvoir : fin des réseaux secrets, révocation des élus corrompus
« Le peuple ne veut plus être gouverné à l’aveugle. »
Pendant que des millions de citoyens sont contrôlés au quotidien — pour leurs revenus, leurs aides, leurs papiers ou leurs déclarations fiscales — ceux qui gouvernent, eux, échappent à toute véritable surveillance.
Mais qui décide vraiment dans ce pays ?
Pourquoi tant de décisions publiques semblent-elles prises dans l’ombre, loin de l’intérêt général ?
Pourquoi retrouve-t-on, à répétition, les mêmes noms, les mêmes cercles, les mêmes réseaux dans tous les postes-clés — de Paris à Nouméa, de Lyon à Cayenne ?
Nous posons la question simplement :
- Est-il normal qu’un élu ou un préfet puisse appartenir à une loge maçonnique, un club fermé ou un réseau d’influence sans jamais devoir en informer les citoyens ?
- Est-il acceptable que des journalistes influents, censés informer le peuple, fréquentent les mêmes cercles que ceux qu’ils doivent surveiller ?
- Est-il tolérable que des marchés publics ou des subventions soient attribués entre amis, sans contrôle, au détriment des territoires et des contribuables ?
Ce que nous exigeons :
1. Un registre public obligatoire
Toutes les personnes ayant un pouvoir d’influence ou de décision (élus, hauts fonctionnaires, préfets, magistrats, journalistes nationaux ou régionaux) devront déclarer publiquement toute appartenance à :
- une loge maçonnique,
- un club privé ou cercle fermé,
- un think tank ou réseau d’influence structuré.
Le citoyen a le droit de savoir qui influence qui.
2. Interdiction pure et simple des affiliations occultes
À l’exemple de l’Italie, qui interdit à ses magistrats d’adhérer à une loge maçonnique,
à l’image de l’Autriche, de l’Allemagne ou de certains États des États-Unis où la loi limite les affiliations incompatibles avec les fonctions publiques,
nous exigeons que la France applique les mêmes règles de bon sens.
➡️ Tout responsable public (élu, préfet, haut fonctionnaire) sera interdit d’appartenance à une organisation secrète, une loge ou un cercle d’influence fermé.
➡️ En cas de manquement ou de dissimulation, une procédure de révocation immédiate sera engagée.
Les citoyens ne peuvent plus être dirigés par des personnes qui dissimulent leurs engagements parallèles.
3. Fin des conflits d’intérêts dans la vie publique
➡️ Aucun marché public, aucune subvention, aucun poste ne pourra être attribué à une personne entretenant des liens personnels, associatifs ou maçonniques avec les décideurs.
➡️ Toute entorse entraînera la nullité du contrat, des sanctions pénales, et une inéligibilité immédiate.
4. Un Observatoire Citoyen de la Transparence
➡️ Création dans chaque région de France et d’Outre-mer d’un collectif citoyen indépendant, chargé de :
- contrôler les nominations publiques,
- vérifier les déclarations d’appartenance,
- publier des rapports réguliers en accès libre.
Un principe clair :
Si un citoyen est contrôlé, un élu doit l’être encore plus.
Parce qu’un pouvoir qui se cache est un pouvoir qui trahit.
POURQUOI ?
Parce que ce qui est interdit au peuple ne doit pas être permis à ceux qui dirigent.
Parce que la confiance ne se décrète pas, elle se prouve.
Et parce que nous avons le droit de savoir qui influence les lois, les médias et les décisions qui changent nos vies.
C’est une question de justice. C’est une question de respect.
Et c’est la troisième mesure du mouvement du 10 septembre 2025.
Pour un pouvoir transparent, révocable, et enfin au service du peuple.
Toi aussi, exige cette mesure !
➡️ Signe cette revendication officielle et partage là sur tes réseaux
➡️ Parle-en autour de toi
➡️ Et le 10 septembre 2025, on arrête tout pour reprendre l’essentiel.