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Protégeons nos enfants : supprimons la loi EVARS
Quelques chiffres qui parlent d’eux-mêmes :
- 12,4 millions d’élèves scolarisés en France, dont plus de 6,5 millions en primaire : ce sont des enfants de 6 à 11 ans directement exposés aux contenus de la loi EVARS.
- Selon un sondage IFOP (2022), 74 % des parents estiment que l’éducation sexuelle doit rester du ressort de la famille.
- Plus de 80 % des enseignants interrogés déclarent manquer de formation et de moyens pour traiter ces sujets sensibles sans risque d’erreurs ou de dérives.
Or, la loi EVARS impose :
- Des modules dès l’école élémentaire, parfois dès 6 ans.
- Des contenus uniformisés, sans distinction d’âge, de maturité ni de valeurs familiales.
- Une intrusion de l’État dans l’intimité des enfants, sous couvert de pédagogie.
Les conséquences : des enfants fragilisés, des parents dépossédés de leur rôle, et une école détournée de sa mission première.
Protéger nos enfants avant tout
en France
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Millions d’élèves de 6 à 11 ans directement exposés
Protéger nos enfants avant tout
Quelques chiffres qui parlent d’eux-mêmes :
- 12,4 millions d’élèves scolarisés en France, dont plus de 6,5 millions en primaire : ce sont des enfants de 6 à 11 ans directement exposés aux contenus de la loi EVARS.
- Selon un sondage IFOP (2022), 74 % des parents estiment que l’éducation sexuelle doit rester du ressort de la famille.
- Plus de 80 % des enseignants interrogés déclarent manquer de formation et de moyens pour traiter ces sujets sensibles sans risque d’erreurs ou de dérives.
- Des modules dès l’école élémentaire, parfois dès 6 ans.
- Des contenus uniformisés, sans distinction d’âge, de maturité ni de valeurs familiales.
- Une intrusion de l’État dans l’intimité des enfants, sous couvert de pédagogie.
En quelques lignes
En France
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Millions d’élèves de 6 à 11 ans directement exposés
Quelques chiffres qui parlent d’eux-mêmes :
- 12,4 millions d’élèves scolarisés en France, dont plus de 6,5 millions en primaire : ce sont des enfants de 6 à 11 ans directement exposés aux contenus de la loi EVARS.
- Selon un sondage IFOP (2022), 74 % des parents estiment que l’éducation sexuelle doit rester du ressort de la famille.
- Plus de 80 % des enseignants interrogés déclarent manquer de formation et de moyens pour traiter ces sujets sensibles sans risque d’erreurs ou de dérives.
Or, la loi EVARS impose :
- Des modules dès l’école élémentaire, parfois dès 6 ans.
- Des contenus uniformisés, sans distinction d’âge, de maturité ni de valeurs familiales.
- Une intrusion de l’État dans l’intimité des enfants, sous couvert de pédagogie.
Conséquence : des enfants fragilisés, des parents dépossédés de leur rôle, et une école détournée de sa mission première.
Les dérives de la loi EVARS
- Exposition précoce : des enfants sont confrontés trop tôt à des thèmes qu’ils ne peuvent pas comprendre.
- Intrusion dans la sphère privée : l’État se substitue aux familles dans un domaine intime.
- Détournement de l’école : au lieu de se concentrer sur les savoirs essentiels, l’école devient le terrain d’une idéologie affective et sexuelle.
Nos valeurs, notre exigence
Nous demandons la suppression immédiate de la loi EVARS, au nom de principes non négociables :
- Protection de l’enfance : préserver l’innocence et l’équilibre psychologique des plus jeunes.
- Primauté des parents : redonner aux familles la pleine responsabilité éducative sur ces sujets intimes.
- Neutralité de l’école : recentrer l’école sur sa mission : lire, écrire, compter, comprendre le monde.
Nos propositions concrètes
- Mettre à disposition des familles qui le souhaitent des outils pédagogiques facultatifs.
- Former les enseignants à la détection des abus et à l’accompagnement, sans leur imposer un rôle qui n’est pas le leur.
- Laisser les familles libres de recourir à des associations ou professionnels spécialisés – mais jamais par obligation légale.
La loi EVARS franchit une ligne rouge.
- Un enfant de 6 ans doit apprendre à lire et à compter, pas à parler de sexualité.
- Protéger nos enfants, c’est protéger notre avenir.
- 74 % des parents disent NON à l’ingérence de l’État dans l’éducation intime.
Toi aussi, exige cette mesure !
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➡️ Et le 10 septembre 2025, on arrête tout pour reprendre l’essentiel.